dimanche 15 mars 2015

Les Mots perdus du Kalahari (2002)

Chronique express!


Les enquêtes et petites aventures de Precious Ramotswe, première femme détective du Bostwana, continuent avec ce quatrième livre d'Alexander McCall Smith, lu avec autant de plaisir que ses prédécesseurs (et même peut-être un peu plus). Vous connaissez cette impression de rentrer chez soi et d'enfiler ses pantoufles qu'on ressent quand on retrouve des personnages qu'on aime et en qui on a toute confiance? Voilà ce que j'ai ressenti en commençant The Kalahari Typing School for Men. Ces personnages modestes, courageux, drôles et attachants ont gagné en épaisseur au fil des pages et sont devenus comme des amis. Au menu de ce tome: une formation de dactylographie pour hommes, un éleveur d'autruches qui veut réparer des erreurs commises dans sa jeunesse et, surtout, l'arrivée de la CONCURRENCE pour Mma Ramotswe et son assistante Mma Makutsi. Avec son modeste slogan "Ex-CID. Ex-New York. Ex-cellent", la Satisfaction Guaranteed Detective Agency entend bien piquer des parts de marché à la No. 1 Ladies' Detective Agency...

Déjà chroniqués sur ce blog
Mma Ramotswe détective (The No. 1 Ladies' Detective Agency)
Les Larmes de la girafe (Tears of the Girafe)
Vague à l'âme au Botswana (Morality for Beautiful Girls)

6 commentaires:

  1. Tu me donnes le goût de renouer avec cette série dont je n'ai lu que les deux premiers tomes!

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    1. Renoue, renoue! :) C'est vraiment trop bien. Peut-être pas à grosses doses car c'est un peu répétitif, mais de temps en temps c'est parfait.

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  2. Je me note cette série quelque part.

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  3. J'ai lu ce 4ème tome et même si j'ai été prise par l'histoire (plus que dans les 3 précédents?) j'ai été légèrement agacée par cette manie de tout le temps comparer les hommes et les femmes à leurs clichés respectifs. C'est comme ça depuis le premier tome mais dans celui-là c'était un peu la surdose XD

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    1. Oui ils ne s'arrêtent jamais! Ça s'insère bien dans la vision du monde de Mma Ramotswe, très "à l'ancienne", mais c'est vrai que ça revient tout le temps. Mais la répétition qui m'a un peu gênée c'est plutôt les grandes considérations un peu culcul sur l'Afrique; je me l'étais notée dans une chronique à un moment donné.

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