lundi 25 mai 2015

Le Tour du monde en quatre-vingt jours (1872)

Chronique express!


Le plaisir de lecture à son maximum! Avec Le Tour du monde en quatre-vingt jours, Jules Verne a encore une fois composé une pépite d'humour et d'aventure qui n'a pas pris une ride. Bizarrement, ce roman, le seul de l'auteur que j'avais lu étant enfant et qui ne m'avait pas beaucoup branchée, me semble bien placé pour être mon préféré avec Vingt mille lieues sous les mers. (Il faut dire qu'on me l'avait offert en italien et que le fait de ne pas lire l'original m'avait un peu contrariée – je crois que c'est une de mes toutes premières prises de conscience de l'existence de la traduction, avec le fait que les personnages de La Belle et la Bête disaient "Bonjour!" alors qu'ils parlaient et chantaient en italien et que les Aristochats parlaient italien alors qu'ils vivaient à Paris – quelque chose clochait quelque part!) On suit donc les aventures de Phileas Fogg, flegmatique gentleman britannique qui accepter de relever le pari qu'on peut faire le tour du monde en quatre-vingt jours et qui quitte Londres sur le champ accompagné de son domestique français Passepartout. Direction la France, et de là, le monde!, avec le lecteur embarqué dans la valise... Un lecteur qui en redemande et qui exulte, même si la fin est un chouïa expéditive, que notre héros n'ait "rien gagné à faire ce tour du monde, si ce n'est le bonheur".


Livres de l'auteur déjà chroniqués sur ce blog

2 commentaires:

  1. Jamais lu mais je garde un excellent souvenir de son adaptation au théâtre ^^.

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