"Je sortais de ma banlieue, de mon trou à Ritals et à titis. J'avais pas la moindre idée de ce qu'était un Russe. J'avais côtoyé des petits Russes blancs à la communale, j'avais rien vu. C'était pas le bon moment, faut croire. Ou pas les bons Russes. J'ai désormais et j'aurai toujours, pour tout ce qui est russe, une passion flamboyante, éperdue, résolument partiale. Et cucul la prâline. Et assumant joyeusement tout ça. C'est le propre de la passion."
François Cavanna
Les Russkoffs
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