Chronique express!
Mon homme aimant bien les pirates, je lui offre régulièrement des livres sur le sujet, puis je les lis dans la foulée (ici, ici et ici). Ce petit volume d'Olivier et de Patrick Poivre d'Arvor, que j'ai trouvé dans le camion-bouquinerie de Pornic l'été dernier, relate la vie de nombreuses figures de la piraterie et de la course, mais surtout de cette dernière profession: Barberousse (en réalité deux frères corsaires), Jean Jansz, Jean Bart, Duguay-Trouin, Robert Surcouf et d'autres...
La lecture était intéressante de par son contenu, d'autant plus que la course était directement liée aux guerres, ce qui permet de replonger un peu dans les tensions internationales des XVIe et XVIIe siècles (mais pas que). Malheureusement, ce livre m'est tombé des mains tellement il est rédigé de manière ampoulée et lourdement lyrique, dans un style d'un nombrilisme époustouflant – on sent que les auteurs sont très fiers de rédiger comme ils le font... Par exemple en basculant l'ordre des propositions d'une phrase: "L'enfant est terrorisé. Jeune mousse qui fait ses armes sur La Serpente, avec ses vingt-quatre canons, une frégate française, face à un ennemi plus puissant, un vaisseau hollandais." Je ne vois pas l'intérêt de séparer "une frégate française" de "La Serpente" et au bout de la vingtième fois ça m'a gavée... Bref, je passerai mon chemin si je croise de nouveau un de leurs livres... 😕
Pouah, cette phrase. Si tout est comme ça, quelle galère- huhu.
RépondreSupprimer@Baroona: C'est exactement ça. Tout est comme ça. :D
SupprimerSi cette phrase est représentative du reste du bouquin, c'est bien trop compliqué pour une histoire de pirates :D
RépondreSupprimer@Vert: Je suis bien d'accord! :)
SupprimerFaisons subir à ces auteurs le supplice de la planche :p
RépondreSupprimer@Tigger Lilly: Tu as trouvé le bon mot! :D
SupprimerDommage, le sujet aurait pu être intéressant !
RépondreSupprimer@Shaya: Exactement!
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